Réalité Virtuelle

RÉALITÉ VIRTUELLE

Le cabinet est équipé d’un système de rééducation de réalité virtuelle. Matériel de la société Virtualis VR.

Le “serious game” devient petit à petit un outil de rééducation dans les cabinets de kinésithérapie et en milieu hospitalier. Le principe est d’exploiter le ressort du jeu vidéo pour proposer des exercices variés et adaptés au patient, en fonction de sa pathologie et de ses besoins.

Le kinésithérapeute peut également utiliser la réalité virtuelle, qui est une forme de serious game, afin d’immerger le patient dans un univers “virtuel” où ses mouvements auront un but précis, comme par exemple attraper des fruits.
Le
serious gaming et la thérapie classique sont en général vus comme complémentaires, l’un accompagnant l’autre.
L’objectif est évidemment très simple : se servir des potentialités offertes par le jeu pour accroître la motivation et l’observance/adhésion au traitement.
Dans les pathologies douloureuses, il semblerait que le serious game permette de
dépasser la kinésiophobie – c’est à dire cette peur d’avoir mal qui fait que le patient limite ses mouvements.

Les serious games et la réalité virtuelle s’adressent à tous, des enfants (au-dessus de 12 ans) aux seniors, et les applications sont nombreuses :

  • Maladie d’Alzheimer ;
  • Pathologies assimilées à la maladie d’Alzheimer ;
  • Troubles cognitifs légers ;
  • Maladie de Parkinson ;
  • Désadaptation psychomotrice ;
  • Troubles du mouvement quelle qu’en soit la cause ;
  • AVC ;
  • Arthrose – Selon les indications du kinésithérapeute, hors période aiguë ;
  • Chirurgie orthopédique programmée (rééducation active faisant suite à la rééducation passive) ;
  • Chirurgie traumatologique (rééducation active faisant suite à la rééducation passive) ;
  • Myopathies ;
  • Myasthénies ;
  • Troubles musculosquelettiques.
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